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Comment fonctionne un compteur d’eau ?

 Élément incontournable de votre installation de plomberie, le compteur d’eau revêt une grande importance pour votre logement. Il assure le comptage de l’eau consommée, et fait ainsi foi pour l’établissement de votre facture. Il représente aussi la limite entre le domaine privé et le domaine public de la canalisation, ce qui a son importance pour la responsabilité en cas de fuite. Mais comment fonctionne cet appareil ?

Comment fonctionne un compteur d’eau ?

Il existe plusieurs types de compteurs, principalement les compteurs volumétriques et les compteurs à hélice. Ces deux types de compteurs ont un fonctionnement différent, et des règles d’installation différentes également, à prendre en compte lorsqu’on doit faire son choix. 

Quels sont les types de compteurs existants ?

Vous pourrez trouver deux types de compteurs différents, les compteurs volumétriques et les compteurs de vitesse. Selon la précision souhaitée, l’emplacement disponible et le lieu de l’installation, l’une ou l’autre des technologies sera privilégiée.

Le choix dépendra également du débit à mesurer, notamment s’il s’agit d’un compteur général pour un immeuble, ou de compteurs divisionnaires pour séparer la consommation de chaque logement.

Les compteurs répondent tous à des normes de fabrication très strictes, ce sont des instruments de mesure. Ils doivent également respecter des préconisations d’installation, précisées par le fabricant.

Enfin, il faut savoir que le propriétaire ou le locataire d’un logement n’a pas à choisir le compteur qui équipe ce dernier. Le compteur est fourni par la collectivité ou son prestataire s’il s’agit d’un compteur de limite du domaine public. Il est choisi et fourni par la copropriété dans le cas d’un compteur divisionnaire.

Quel est leur mode de fonctionnement ?

Les compteurs volumétriques sont équipés d’une boîte mesurante dans laquelle se trouve un piston rotatif. Chaque fois que ce piston est rempli d’eau, il tourne et se vide. Un totaliseur compte le nombre de fois que le piston tourne, avec un système de deux aimants se faisant face. Chaque rotation du piston correspond à un volume d’eau, ce qui garantit une bonne précision du comptage.

De leur côté, les compteurs de type vitesse utilisent l’énergie cinétique de l’eau pour faire tourner une turbine placée dans le flux qui traverse le compteur. La vitesse de rotation de cette turbine dépend de la quantité d’eau qui passe par le compteur, qui est alors transmise au totaliseur.

À quelles installations sont adaptés ces compteurs ? 

Les compteurs volumétriques sont très fiables pour la mesure des petits débits d’eau. Mais ils sont plus volumineux qu’un compteur de type vitesse, donc plus encombrants. Ils sont par conséquent plus difficiles à installer dans des espaces réduits et des recoins. Ils ont également la particularité d’être légèrement bruyants dans le temps, cela peut être dérangeant lorsqu’ils sont installés à l’intérieur d’une habitation.

De son côté, le compteur de type vitesse est compact et très facile à poser dans une habitation. Il est très silencieux, et toujours précis même pour un petit débit d’eau. Il est en outre peu sensible aux impuretés et aux résidus. Et dernier argument non négligeable : il représente généralement un coût moindre que le compteur volumétrique !

Dans tous les cas de figure, nous accompagnons les copropriétés pour le choix de la technologie la mieux adaptée à leur situation. Tous nos compteurs sont approuvés et homologués. Ils sont aujourd’hui agréés MID, nouvelle norme européenne qui remplace le système de classe des compteurs (A,B,C,D) devenu obsolète.

Comment lire un compteur d’eau à aiguilles ?

De nos jours, la plupart des compteurs d’eau que l’on peut rencontrer sont équipés d’un cadran avec une suite de chiffres blancs sur fond noir ou rouge, et indiquent ainsi très clairement le volume d’eau déjà passé dans le compteur. De plus en plus, les compteurs sont  aussi équipés d’une tête émettrice permettant de récupérer ces données à distance, comme les compteurs que nous installons chez nos clients.

Mais si, plein de bonne volonté pour suivre votre consommation en eau, vous vous retrouvez face à un compteur à aiguilles, il se peut que vous soyez surpris…et démuni ! Alors, comment procéder à sa lecture et ainsi suivre efficacement sa consommation ?

Comment lire un compteur d’eau à aiguilles ?

Pour savoir lire correctement un compteur d’eau à chiffres, n’hésitez pas à vous reporter à notre article « Comment lire le compteur d’eau ? ».

Comment fonctionne ce type de compteur d’eau ?

Le compteur d’eau à aiguilles est, lui aussi, un compteur d’eau de vitesse. Il est équipé d’une petite turbine, appelée roue du compteur, qui tourne plus ou moins rapidement en fonction de la quantité d’eau qui passe dans la canalisation sur laquelle est installé le compteur.

Cette turbine, avec un système de démultiplication, fait tourner les aiguilles du compteur ainsi que les chiffres affichés.

Comment procéder à la lecture de son compteur d’eau?

Les compteurs à aiguilles possèdent plusieurs cadrans ronds gradués chacun de 0 à 9. L’aiguille qui équipe chaque cadran navigue progressivement de 0 à 8 dans le sens des aiguilles d’une montre, et recommence son cycle à 0 une fois sa dizaine terminée.

En effet, chaque cadran et chaque aiguille représente une dizaine multiplicative des mètres cubes passés dans le compteur. On reconnaît le cadran au chiffre qui est indiqué en dessous :

– le cadran avec l’indication 1 représente les m³,

– le cadran avec l’indication 10 représente les dizaines de m³,

– le cadran avec l’indication 100 représente les centaines de m³,

– et le cadran avec l’indication 1 000 (on lit parfois 1.000) représente les milliers de m³.

En relevant ces quatre chiffres, dans le bon ordre, vous connaîtrez la quantité d’eau totale passée par le compteur. Ces quatre cadrans suffisent pour établir le relevé du compteur, mais ils ne sont pas assez précis pour vérifier la présence d’une fuite.

Il y a pour cela des cadrans qui représentent les subdivisions du mètre cube :

– un cadran avec l’indication 0,1 pour les dixièmes de m³,

– un cadran avec l’indication 0,01 pour les centièmes de m³,

– un cadran avec l’indication 0,001 pour les millièmes de m³, c’est-à-dire les litres.

Ils permettent d’obtenir une mesure bien plus précise que le mètre cube, même si elle ne sert pas pour établir la facture d’eau.

Il existe également des compteurs « mixtes », avec un cadran de chiffres pour les mètres cubes, et des aiguilles pour les subdivisions du mètre cube. Ainsi le cadran sert pour la facturation, et les aiguilles pour le contrôle des fuites chez soi.

Comment utiliser la lecture du compteur pour vérifier l’absence de fuite chez soi? 

Le compteur indique toujours la quantité d’eau totale qui l’a traversé depuis son installation. Il faut donc effectuer une soustraction entre deux relevés pour connaître une consommation d’eau pendant un temps donné.

Pour contrôler l’absence de fuite chez soi, il faut fermer tous les robinets et arrêter les appareils électroménagers qui peuvent consommer de l’eau (lave-linge, lave-vaisselle…). Faites alors un relevé précis du compteur, en notant la position de chaque aiguille. Faire de plus une photo avec son téléphone est aussi une bonne idée !

Puis, après plusieurs heures, par exemple le lendemain matin ou après une journée d’absence de la maison, refaites le relevé. 

Si la position des aiguilles a changé, c’est qu’une recherche de fuite s’impose… Pour cela, vous retrouverez tous les conseils dans notre article « Comment détecter une micro-fuite d’eau ».

Toutes les sortes de compteurs n’ont plus de secret pour vous ! Une fois le principe compris, la lecture du compteur peut devenir un contrôle régulier…et cela vous évitera les mauvaises surprises sur la facture. Mieux encore, si votre copropriété choisit de s’équiper avec des compteurs connectés, vous pourrez suivre votre consommation bien plus facilement.

Comment fonctionne un répartiteur de frais de chauffage ?

Dans un immeuble, le chauffage peut être géré de manière individuelle ou collective.   Dans ce dernier cas, il convient que la répartition des charges financières du chauffage soit faite de la manière la plus juste. Plutôt que d’appliquer une répartition au tantième, c’est-à-dire par lot de copropriété, un répartiteur de frais de chauffage permettra une répartition des frais en fonction de la consommation réelle. Comment fonctionne ce système ? 

Comment fonctionne un répartiteur de frais de chauffage ?

Afin de répartir les frais de chauffage en fonction de la consommation, il faut déjà évaluer cette consommation ! Pour cela, plusieurs solutions existent, en fonction de la configuration de l’immeuble.

Qu’est-ce qu’un répartiteur de frais de chauffage ?

Le répartiteur électronique de frais de chauffage est constitué d’un petit boîtier installé sur chaque radiateur de votre logement. En mesurant la différence de température entre votre radiateur et votre pièce, il évalue la quantité de chaleur consommée.

Tous les radiateurs de l’immeuble doivent en être équipés, afin de comparer la chaleur consommée globalement dans chaque logement. Un calcul effectué par le syndicat de copropriété ou le bailleur permet alors de répartir les frais de chauffage au plus juste.

Ce type d’installation est adapté aux immeubles plus anciens, équipés de colonnes verticales.

Tous les répartiteurs électroniques que nous installons sont équipés d’un boîtier de relevé à distance. Ainsi, il n’est pas nécessaire de pénétrer dans les appartements pour connaître les consommations de chacun.

Quelle est la différence avec un compteur d’énergie thermique ?

Pour les immeubles plus récents ou neufs, dont les boucles de chauffage sont conçues de manière horizontale, c’est-à-dire niveau par niveau et appartement par appartement, il vaudra mieux installer des compteurs d’énergie thermique, plus précis et plus fiables. Et surtout, un seul suffira par logement, il ne sera plus nécessaire d’installer autant d’instruments que de radiateurs.

Quel est l’intérêt d’installer un répartiteur de frais de chauffage ? 

On observe généralement que les immeubles dotés d’un chauffage collectif ont des consommations de chauffage de 25 à 30% plus élevées que les immeubles équipés de chaudière individuelle. Comme dans le cas de l’eau, les résidents qui paient leur consommation réelle de chauffage se sentent plus concernés par les économies à réaliser.

Ainsi, ils sont plus attentifs à baisser la température du logement la nuit, lors de leurs absences en journée, et lors de l’aération de l’appartement !

La loi de transition énergétique réaffirme d’ailleurs en 2018 l’obligation de mettre en place l’individualisation des frais de chauffage et en précise les modalités de mise en place. 

Comme dans le cas de l’individualisation des charges liées à l’eau, les travaux pour individualiser les frais de chauffage devront être décidés et menés par la copropriété. Nous proposons une solution complète d’installation des répartiteurs agréés, de relevé des données et d’aide au calcul de répartition des frais, à la disposition des copropriétés.

Qu’est-ce que la décantation de l’eau ?

Le mot décantation ne vous est certainement pas étranger, vous l’avez probablement entendu à diverses reprises, notamment dans le domaine du traitement des eaux. Que ce soit pour le traitement des eaux usées ou la production d’eau potable, ce procédé simple est couramment utilisé. Mais en quoi consiste-t-il vraiment ?

Qu’est-ce que la décantation de l’eau ?

La décantation est un procédé observable facile à mettre en œuvre à la maison. Tentez l’expérience, et partagez-la avec vos enfants, c’est simple et instructif !

Un procédé physique simple de séparation 

La décantation est un procédé physique simple qui permet de séparer les éléments constituant un mélange hétérogène. Rappelons que, dans un mélange hétérogène, on peut distinguer à l’œil nu au moins deux constituants différents.  Les éléments se séparent spontanément lorsqu’on laisse reposer le mélange suffisamment longtemps.

Les particules plus denses que l’eau vont automatiquement se déposer dans le fond du contenant, car elles sont plus lourdes. C’est par exemple le cas de la terre ou du sable mélangé à l’eau. 

En effet, si vous mélangez de la terre avec de l’eau, vous obtenez dans un premier temps un liquide marron de couleur plutôt uniforme. Au bout de quelques heures ou de quelques jours de repos, vous verrez se séparer la terre au fond du récipient, et une eau limpide, ne contenant plus de particules de terre, qu’on appelle le surnageant. 

Tout repose sur la gravité, s’il y a des particules moins denses que l’eau, elle monteront au contraire à la surface !

Dans quels cas est-il utilisé ?

Simple à mettre en œuvre et très peu coûteux, le procédé de décantation est très souvent utilisé pour le traitement de l’eau, que ce soit pour produire de l’eau potable ou pour dépolluer les eaux usées.

Dans le cas de l’eau potable, il arrive que de très fines particules de terre soient en suspension dans l’eau, même lorsqu’elle est captée sous terre. On parle alors de turbidité. Ces particules doivent être éliminées de l’eau potable, elles sont donc séparées par décantation. Mais elles sont tellement fines qu’elles mettraient un temps infini à se déposer au fond d’un récipient, c’est pourquoi elles sont pompées avec l’eau. Elles sont donc regroupées en de plus grosses particules, à l’aide d’un procédé chimique appelé coagulation – floculation. Ces particules plus lourdes décanteront beaucoup plus facilement.

Dans le cas du traitement des eaux usées, la décantation peut être utilisée en tête de station d’épuration, pour séparer les sables par exemple. De plus, elle est systématiquement utilisée en fin de traitement, pour séparer les bactéries ayant traité l’eau de l’eau épurée. Les bactéries tombent en fond de bassin et forment ce qu’on nomme les boues.

Quelle est son utilité pour moi? 

La décantation n’est pas seulement utilisée à grande échelle, pour le traitement collectif des eaux.

Chez vous, une cuve de décantation pourra être utile dans un système de récupération des eaux de pluie. Elle permettra de séparer les sables et particules solides entraînées par la pluie avant le stockage de l’eau dans une citerne.

Par ailleurs, si vous possédez un assainissement individuel, une décantation primaire constituera probablement la première étape du traitement. Les boues et les matières solides se déposent au fond d’un premier bassin, ce qui élimine déjà une grande partie de la pollution à traiter.

Le phénomène physique simple appelé décantation peut s’observer très régulièrement dans notre vie quotidienne, avec par exemple les dépôts au fond de notre bouteille de jus de fruit,  ou la pulpe au fond d’une boisson gazeuse à l’orange ! Plus sérieusement, il est facile d’en faire l’expérience à la maison, en mélangeant de la terre et de l’eau, puis en laissant le mélange reposer… 

Quelles charges faut-il facturer à un locataire ?

Les charges dites locatives, ou encore appelées charges récupérables, sont strictement définies et encadrées par la loi. Il convient donc de bien se renseigner avant de procéder à leur calcul et les demander à votre locataire.

Quelles charges faut-il facturer à un locataire ?

De l’autre côté, en tant que locataire, à vous de vérifier le calcul effectué par votre propriétaire, qui doit transmettre un décompte annuel des charges. Le propriétaire doit tenir à la disposition du locataire toutes les pièces justificatives, pendant les six mois suivant la transmission du décompte.

Qu’entend-on par charges locatives ?

Le propriétaire paye pour le logement qu’il met en location un certain nombre de charges, contenant les frais pour les parties communes, des taxes, ainsi que l’eau. Ce sont des charges locatives, elles sont dues par le locataire, qui occupe le logement.

Le propriétaire se fait donc rembourser par ce dernier.

Au contraire, une charge non récupérable est payée directement par le locataire, c’est le cas de l’électricité, car chaque locataire doit souscrire un abonnement en son nom.

Quelles sont les charges à payer par le locataire ?

La liste exhaustive des charges est fixée par décret, il ne peut donc pas y figurer tout et n’importe quoi. Elles peuvent premièrement concerner le gardien ou l’employé d’immeuble, comprenant en partie son salaire et les charges qui y sont associées.

Les dépenses concernant un ascenseur pourront également être répercutées sur le locataire, notamment, l’électricité, l’exploitation de l’appareil, la fourniture de produits ou petits matériel d’entretien et les menues réparations de la cabine.

Les dépenses concernant l’eau chaude, l’eau froide et le chauffage collectif sont aussi récupérables sur le locataire, notamment l’eau consommée par les locataires. Pour plus de détail concernant ce poste, vous trouverez notre article « Comment se fait la répartition des charges de l’eau ».

Les charges locatives comprennent également tous les frais liés à l’entretien des parties communes. Il peut s’agit des parties communes intérieures, comme l’électricité pour l’éclairage, l’entretien de la minuterie, la réparation des appareils d’entretien ou encore les produits d’entretien. Il peut également s’agir des parties communes extérieures, comme l’entretien des espaces verts ou des jeux pour enfants.

Enfin, les taxes d’enlèvement des ordures ménagères et les taxes d’assainissement restent à la charge des locataires.

Comment répartir les charges liées à l’eau ?

Les charges liées à la fourniture de l’eau potable peuvent être calculées de différentes manières, selon la situation de l’immeuble. Elle se fera en fonction de la règle des tantièmes généraux si les logements ne sont pas équipés de compteurs d’eau individuels.

Si les logements sont, au contraire, équipés de compteurs d’eau divisionnaires, la répartition des charges liées à l’eau se fait en fonction de la consommation réelle. C’est désormais une obligation pour tous les immeubles neufs. Il est alors plus facile de suivre pour chaque locataire ses charges réelles, et de réaliser des économies d’eau. Surtout si la copropriété choisit de mettre en place des compteurs connectés, comme les produits que nous proposons. 

Il restera simplement à répartir la consommation d’eau des parties communes, pour leur nettoyage par exemple. C’est le règlement de copropriété qui détaille les règles de calcul de ces charges. 

Comment se fait le paiement de ces charges 

Le mode de paiement des charges diffère selon la nature du bail liant le locataire et le propriétaire.

Dans le cas d’un logement loué vide, le paiement des charges se fait par provisions, c’est-à-dire par avances régulières de même montant, avec une régularisation annuelle. Le montant des charges récupérées par le propriétaire doit alors être justifié. Les provisions mensuelles sont évaluées en fonction des montants des années précédentes, ou du budget prévisionnel.

Dans le cas d’un logement loué meublé, le mode de paiement est déterminé dans le bail, il peut être fait par provision avec régularisation annuelle, comme dans le cas d’un logement vide, ou par forfait.

Avant la régularisation des charges, le propriétaire doit fournir au locataire divers éléments, dont le décompte des charges locatives par nature de charges, le mode de répartition entre les locataires si le logement est situé dans un immeuble collectif, ainsi qu’une note d’information sur le mode de calcul liés au chauffage et à la production d’eau chaude. De plus, le propriétaire transmettra le récapitulatif des charges du logement, par mail ou par courrier, sur demande du locataire.

Comment réduire sa facture avec des économiseurs d’eau ?

Réduire sa consommation en eau produit deux résultats appréciables : diminuer le montant de sa facture, et protéger les ressources naturelles en eau. Une manière très simple et pratique à mettre en place est l’installation d’économiseurs d’eau. Comment faire ? Lesquels choisir ? Quels sont les résultats que l’on peut espérer ?

 Comment réduire sa facture avec des économiseurs d’eau ?

C’est une solution simple que vous pouvez réaliser vous-même, moyennant un investissement modeste, de l’ordre de quelques dizaines d’euros. A mettre en place sur tous les robinets de la maison ! Une seule chose à vérifier : que vos robinets n’en soient pas déjà équipés, ce qui peut être le cas sur des robinets récents.

Quel est le principe des économiseurs d’eau ?

L’économiseur d’eau est un simple embout qui s’adapte sur votre robinet, il agit comme un régulateur de débit. Suivant la constatation que le débit fourni au robinet est souvent largement supérieur à votre besoin, il permet de le diminuer, tout en conservant un débit d’eau suffisant et confortable pour vos opérations quotidiennes.

Ce petit objet à peine visible sur votre robinet effectue un mélange de l’air et de l’eau sous l’effet de la pression et divise ainsi le débit de 25 à 50 %.

Quels économiseurs d’eau choisir ?

Ces petits objets peuvent se trouver sous le nom d’économiseur, mousseur, réducteur d’eau ou aérateur. Ils s’adaptent sur tous les types de robinet, à l’exception des robinets vraiment trop anciens. Ils proposent proposent différents types de jet : régulé, mousseux, spray ou colonne, à choisir selon votre besoin.

Vous trouverez facilement des kits économiseurs d’eau dans les magasins de bricolage ou en ligne, dans la plupart des grandes enseignes. Les modèles en inox, qui coûtent environ une vingtaine d’euros, ont plusieurs avantages : ils s’adaptent aux robinets standards, mâle ou femelle, et s’entartrent beaucoup moins vite que les filtres métalliques ordinaires.

Attention, si vous possédez une chaudière à gaz à chauffage instantané, l’installation de réducteur de débit peut poser un problème à votre installation. Il se peut que le débit du robinet ainsi équipé ne suffise plus à la mettre en route. Demandez conseil à votre plombier !

Comment les installer ? 

L’installation est très facile et accessible à tous les bricoleurs. Comptez le nombre de robinets à équiper afin de choisir le kit adapté.

Il suffit alors de dévisser la bague de votre robinet, d’enlever le mousseur existant, et de placer le nouveau régulateur à sa place. Faites attention au sens d’installation, couleur vers le bas. Il suffit alors de revisser la bague du robinet, et c’est terminé !

Quelles sont les économies que l’on peut espérer ?

Les économiseurs d’eau diminuant le débit de l’eau de 25 à 50 %, on peut espérer une consommation diminuée d’autant pour nos robinets.

Attention, la facture globale ne sera pas réduite d’autant, car un grand consommateur d’eau dans votre logement est votre chasse-d’eau, qui ne sera pas équipée d’un économiseur. Pour diminuer sa consommation, d’autres solutions existent, que vous retrouverez dans notre article Quelle consommation d’eau pour une chasse d’eau ?

Et attention à ne pas allonger le temps passé sous la douche en compensation !

Plus de raison de ne pas sauter le pas, il vous sera très facile d’installer des économiseurs d’eau dans l’ensemble de votre logement, sans en diminuer le confort.

Renseignez-vous, certaines communes offrent parfois des kits d’économiseurs d’eau gratuits !

Comment récupérer et utiliser l’eau de pluie ?

Lorsqu’on se soucie de son impact sur l’environnement, et également de sa facture d’eau, on s’intéresse tout naturellement à la récupération de l’eau de pluie. C’est en effet une manière simple de faire baisser à la fois sa facture d’eau et son empreinte environnementale, que demander de mieux ? Quels sont les usages envisageables ? Comment s’équiper ?

Comment récupérer et utiliser l’eau de pluie ?

Selon la région où elle se trouve, une maison d’environ 186 mètres carrés pourrait récupérer environ 190 000 litres d’eau de pluie par an, soit 190 m³. C’est supérieur à la consommation moyenne d’un ménage, alors peut-on imaginer ne plus avoir besoin de se raccorder au système d’eau potable de la ville ?

Les usages possibles pour l’eau de pluie dans la maison

En France, l’utilisation de l’eau de pluie dans la maison est strictement réglementée. Elle peut être récupérée pour un usage domestique, hors consommation alimentaire.

A l’extérieur de la maison, il n’existe aucune restriction ; l’usage de l’eau de pluie récoltée est totalement libre. Elle peut être utilisée pour arroser sa pelouse, son potager, ses massifs de fleurs. C’est aussi une eau tout à fait adaptée pour laver son véhicule.

Par contre, à l’intérieur de la maison, les usages sont restreints par la réglementation. L’eau de pluie peut uniquement être utilisée pour remplir la chasse d’eau des toilettes et pour laver les sols. Si vous installez un dispositif de traitement adapté, elle pourra également être utilisée pour laver son linge.

Attention cependant à la nature de votre toiture : une eau qui a ruisselé sur une toiture contenant du plomb ou de l’amiante-ciment ne pourra pas être utilisée à l’intérieur de votre habitation.

Ces usages sont certes restreints, mais quand on sait que la chasse d’eau représente environ le cinquième de la consommation d’eau de la maison , cela ouvre de belles perspectives d’économies !

Quelle installation pour récupérer les eaux de pluie ?

Une installation spécifique doit être réalisée pour la récupération et le stockage de l’eau de pluie. Une cuve de stockage peut être installée hors sol ou alors être enterrée, il existe de nombreuses solutions à votre disposition. 

Vous pouvez trouver des cuves de stockage toutes prêtes dans le commerce, ou éventuellement fabriquer la votre. Elle ne doit simplement pas avoir subi de traitement anti-gel. 

Il est préférable de choisir une cuve couverte, ce qui évitera la prolifération de moustiques, d’algues et surtout les accidents. Pensez à bien stabiliser, voire fixer votre cuve. Vous pourrez vous passer de pompe seulement si votre cuve est située plus haut que votre point de distribution.

Enfin, n’oubliez pas l’aspect réglementaire : si votre installation est raccordée au réseau d’assainissement collectif, c’est-à-dire si les eaux usées se rejettent dans les égouts, il est obligatoire de faire une déclaration d’usage auprès de votre mairie, auprès du service en charge de l’assainissement. C’est le cas si vous utilisez l’eau de pluie à l’intérieur de votre domicile.

Sécurité et entretien de l’installation 

A l’intérieur de votre habitation, une séparation stricte doit être faite entre l’eau potable, arrivant du système de distribution public, et l’eau de pluie récupérée. Les robinets d’accès doivent être clairement identifiés avec la mention « Eau non potable » et un pictogramme explicite.

De plus, il est interdit d’installer un robinet distribuant l’eau de pluie dans une pièce où se trouvent des robinets distribuant de l’eau potable, sauf dans les caves, sous-sol et autres pièces annexes comme un garage, par exemple.

Enfin, ces robinets devront être bloqués : leur ouverture se fera avec un outil spécifique, qui n’est pas attaché en permanence au robinet.

Les contraintes d’installation et d’usage sont importantes, mais à la hauteur des économies envisageables. Cela vaut la peine d’étudier la question ! Il faudra aussi prendre en compte le coût de l’entretien des installations, réalisé par vos soins ou une entreprise extérieure, et suivi dans un carnet d’entretien sanitaire. Et bien sûr, cela ne vous dispensera pas d’un raccordement au réseau d’eau potable de votre commune !

Que faire en cas de coupure d’eau ?

La coupure d’eau, ça n’arrive jamais quand on y est préparé ! C’est toujours au moment où on s’y attend le moins. Il est donc utile de savoir comment réagir lorsque cela vous arrivera. Quels sont les bons réflexes à adopter ?

Que faire en cas de coupure d’eau ?

Dans la majorité des cas, les coupures d’eau pour impayés sont devenues illégales, mais cela n’empêche pas de se retrouver sans eau au robinet à un moment ou à un autre…

Rechercher la cause de la coupure d’eau

Vous rentrez chez vous, tournez machinalement le robinet de la cuisine… et rien ne se passe ! Quelques éclaboussures, des bruits dans la canalisation, et surtout de l’air. Vous subissez une coupure d’eau, comment réagir ?

La première chose à faire est de chercher quelle est l’étendue de la coupure. Allez tester d’autres robinets dans votre habitation, vous devez déterminer si tout votre logement est concerné. 

Si un seul robinet est en cause, une réparation sur ce robinet s’impose, votre plombier sera votre meilleur atout. Mais vérifiez rapidement qu’il n’y a pas de fuite sur l’alimentation de ce robinet.

Si l’ensemble de votre habitation est concernée, menez l’enquête autour de vous. Vos voisins sont-ils également touchés par la coupure ? Peut-être n’avez-vous pas été informés d’une coupure d’eau prévue dans votre commune, votre rue ou votre quartier. Il arrive que le gestionnaire de votre réseau d’eau potable doive faire une coupure d’eau pour travaux. Dans ce cas, qui se produit généralement en semaine et pendant les heures de journée,  il doit vous avoir prévenu, par un mot dans les boîtes aux lettres, par des affiches dans le quartier, par des messages téléphoniques ou par e-mail…

Il peut également s’agir de travaux en urgence, ou d’une fuite importante sur la canalisation d’alimentation. Contactez alors votre fournisseur, ou votre mairie, qui saura vous renseigner.

Si c’est l’installation privée qui est en cause ?

 Si votre logement est le seul concerné par la coupure d’eau, il faut chercher le problème sur vos installations privées.

Un coup d’œil à votre compteur doit être votre premier réflexe. Vérifiez qu’il n’y a pas de fuite importante juste avant ou après votre compteur (ou votre robinet d’arrêt d’eau général). 

Vous ne pouvez pas manipuler le robinet situé en amont du compteur, mais vous pouvez tout de même vérifier s’il est fermé. Il peut s’agir d’une erreur de manipulation de la part de votre gestionnaire !

Vérifiez ensuite les robinets après compteur, qui peuvent également avoir été fermés.

L’information capitale à vérifier sur votre compteur d’eau, c’est surtout s’il tourne ! Si les chiffres bougent et que la petite aiguille tourne elle-aussi, il faut rechercher d’urgence une fuite dans votre habitation.

Pour les réparations sur votre installation privée, vous devez faire appel à un plombier. Pensez à lui dégager les accès pour lui faciliter le travail, cela représentera du temps, et donc de l’argent, économisé.

Que faire en attendant le retour d’eau 

Lors d’une coupure d’eau générale de votre logement, pensez à refermer les robinets d’eau, notamment ceux que vous avez ouverts pour vos tests.

Pensez également à éteindre tous les appareils électriques qui peuvent se mettre en route automatiquement en utilisant de l’eau. Par exemple le lave-vaisselle ou le lave-linge programmés pour la nuit, ou la machine à café qui se rince automatiquement avant de s’éteindre…

Dans le cas d’une coupure générale dans votre quartier, maintenir les robinets fermés facilitera la remise en eau, dont vous serez informés par les services gestionnaires de votre réseau. Une purge d’air sera probablement nécessaire, elle devrait se faire sans problème à la première ouverture de vos robinets.

Une coupure d’eau dans notre habitation nous prend toujours au dépourvu. Mais il ne faut pas paniquer pour autant, et analyser la situation. Prenez le temps d’observer ce qui se passe chez vous et autour de vous avant d’agir ! Et vous trouverez facilement des informations auprès de votre gestionnaire d’eau ou de votre mairie.

Quelle est la répartition des services de gestion de l’eau potable en France ?

Qui produit l’eau qui arrive à votre robinet ? Qui l’achemine jusqu’à vous ? Qui gère votre assainissement ? Et la facturation ? Selon l’endroit où vous vivez, les réponses à ces questions peuvent être différentes. Comment s’y retrouver ?

Quelle est la répartition des services de gestion de l’eau potable en France ?

Chaque personne, en France, doit pouvoir avoir accès à de l’eau potable, de qualité déterminée par des normes très strictes. Ce sont les communes qui sont responsables de cette distribution de l’eau

Petit historique du modèle français de gestion de l’eau potable

A partir de la seconde moitié du XIXème siècle, les français commencent à se soucier de leur approvisionnement en eau, avec notamment le développement d’une culture de l’hygiène et de la médecine. Les communes s’emparent alors du problème, l’accès à l’eau devient une nécessité.

Souvent, les municipalités se regroupent pour faire face à l’ampleur de la demande, et à d’éventuelles contraintes d’approvisionnement. Les premiers syndicats d’eau se créent alors. 

Les communes, confortées dans leur rôle par l’État, se regroupent pour faire face à l’accroissement progressif de leurs obligations dans les domaines de l’eau et de l’assainissement, ou délèguent la gestion de ce service public à des entreprises privées.

Le développement de compagnies privées accompagnent celui du réseau d’eau potable. Cela explique pourquoi la gestion de l’eau en France est marquée par la coexistence d’une gestion assurée par les communes et syndicats intercommunaux et une gestion déléguée à des entreprises privées.

Qui est responsable de la gestion de l’eau potable de nos jours ?

De nos jours, les communes ont toujours une compétence obligatoire en matière de distribution d’eau. En revanche, leur compétence est facultative concernant la production, le transport et le stockage.

En conséquence, 30 000 services publics de l’eau et de l’assainissement existent aujourd’hui en France . Ces services sont gérés par les communes ou les intercommunalités, et ils ont pour missions d’acheminer l’eau potable jusque dans les foyers, de collecter les eaux usées et les eaux pluviales, de traiter ces eaux avant de les rendre à leur environnement naturel et de gérer les relations avec les consommateurs : informations, gestion des demandes, facturation…

Les modes de gestion 

Les communes ou intercommunalités peuvent choisir d’assurer directement la gestion de ces services, il s’agit alors d’une régie publique. Dans ce cas, le personnel de la commune gère lui-même la distribution de l’eau, tant au niveau technique qu’administratif. Vous vous tournerez donc vers ces services communaux pour toute question.

Un autre choix consiste à déléguer ces missions à une entreprise privée, on parle alors d’une délégation de service public. Dans tous les cas, les infrastructures demeurent la propriété des services publics, l’entreprise privée apportant son savoir-faire et ses ressources pour la gestion de l’eau. 

Plusieurs types de contrats peuvent lier l’entreprise à la collectivité. Le type de contrat le plus répandu est l’affermage, où la collectivité finance et réalise les équipements, mais en délègue l’exploitation et l’entretien à une l’entreprise privée. Cette dernière se rémunère directement auprès des usagers, mais une partie des sommes inscrites sur les factures d’eau revient à la collectivité pour couvrir ses frais d’investissement.

Les autres contrats existants sont la gérance, la concession et la régie intéressée. Tous ces contrats sont strictement encadrés par la loi, notamment en ce qui concerne leur durée et leur attribution.

En cas de besoin, il faudra alors se tourner vers les services de l’entreprise délégataire, dont vous trouverez le contact sur votre facture.

Les autres acteurs 

D’autres acteurs interviennent dans la gestion de l’eau en France, notamment les Agences Régionales de Santé, qui vérifient la potabilité de l’eau distribuée à votre robinet, ou les Agences de l’Eau, qui participent à l’élaboration d’une politique de l’eau cohérente par bassin hydrographique.

Dans tous les cas, l’eau demeure un bien public. Ce n’est d’ailleurs pas l’eau elle-même que vous payez sur votre facture, mais le service pour disposer en tout temps d’une eau potable à votre robinet, et sa dépollution.

Existe t’il un compteur pour l’eau chaude ?

Lorsque vous habitez dans une maison individuelle, un seul compteur d’eau équipe votre maison, c’est un compteur pour l’eau froide qui matérialise la limite entre le domaine public et le domaine privé,  fait foi pour le calcul de votre consommation d’eau, et donc également pour votre facture d’eau. Dans le cas d’un habitat collectif, vous pouvez trouver plusieurs compteurs dans votre logement, pour l’eau froide, l’eau chaude et le chauffage…comment s’y retrouver ?

Existe t’il un compteur pour l’eau chaude ?

Les normes sur les compteurs étant très strictes, des appareils spécifiques doivent être installés pour les différents usages, et en fonction de la température de l’eau qui passe dans le compteur.

Le compteur individuel 

Dans un habitat collectif, seul le compteur général de l’immeuble matérialise la limite avec le domaine public et est géré par le distributeur d’eau de votre commune. Les compteurs individuels sont installés et géré par votre copropriété, cela permet une répartition plus juste des charges d’eau entre les différents logements. Cela permet également de réaliser des économies d’eau, comme vous pouvez le lire dans notre article Comment installer des compteurs d’eau individuels .

Ces compteurs individuels sont parfois abusivement appelés compteurs d’eau chaude, alors qu’en réalité ils comptabilisent l’eau froide que vous consommez. Ce sont donc des compteurs d’eau froide, identiques à ceux d’une maison individuelle, parfois connectés, comme ceux que nous proposons d’installer.

Le compteur d’eau chaude individuel

Dans certaines copropriétés, la production d’eau chaude est gérée de manière collective. C’est aussi le cas dans certaines communes. Pour répartir au mieux les frais de production de cette eau chaude, chaque logement est équipé d’un deuxième compteur, spécifique à l’eau chaude sanitaire. La tuyauterie d’eau chaude est alors complètement séparée de la tuyauterie d’eau froide.

Ces compteurs répondent aux exigences d’une norme spécifique, et sont souvent de couleur rouge ou orange, pour les repérer plus aisément. 

Ils se lisent comme des compteurs d’eau froide classiques, comme nous l’avons expliqué dans notre article Comment lire le compteur d’eau. Ils peuvent aussi être connectés pour être relevables à distance. 

Le compteur d’énergie thermique 

Enfin, votre logement dans un habitat collectif peut également être équipé d’un compteur d’énergie thermique, qui permet de mesurer la consommation réelle de chauffage de chaque logement d’un immeuble afin de déterminer au plus juste la facture d’énergie correspondant à leur consommation. Cela est utile lorsque le chauffage est produit de manière collective pour la copropriété, ou éventuellement pour toute la ville ou un de ses quartiers. Ce compteur compte également de l’eau chaude mais celle qui circule dans vos radiateurs, et non l’eau chaude sanitaire. Il n’est plus appelé compteur d’eau chaude pour éviter toute confusion avec le cas précédent mais compteur d’énergie thermique.

Par ailleurs, la loi impose aujourd’hui aux immeubles collectifs d’individualiser leurs charges de chauffage, pour cela nous proposons d’installer un compteur d’énergie thermique ou répartiteur électronique équipé d’un boîtier de relevé à distance.

Vous saurez maintenant repérer quel compteur est spécifiquement dédié à l’eau chaude dans votre logement, s’il en existe un. Son suivi régulier est aussi important que celui de l’eau froide, afin de détecter rapidement toute fuite et d’éviter les surprises  au moment de la réception de la facture !