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Répartiteur de chauffage collectif – Qu’est-ce que c’est ?

Dans un immeuble équipé d’un système de chauffage collectif, sans dispositif de mesure, les frais de chauffage sont répartis selon la règle des millièmes, comme les autres frais de la copropriété. Cela ne reflète pas les différences de consommation, et n’incite pas à faire des économies. C’est pourquoi il est devenu obligatoire, progressivement depuis 2017, d’individualiser les charges de chauffage. Le répartiteur de frais de chauffage est une solution qui permet cette individualisation, nous allons voir comment il fonctionne.

Répartiteur de chauffage collectif – Qu’est-ce que c’est ?

Multimat Comptage aide les copropriétés à individualiser les charges de chauffage en installant un compteur d’énergie thermique ou un répartiteur électronique, en fonction de votre installation. Bien que plus précis, les compteurs d’énergie thermique ne peuvent s’installer que dans les immeubles équipés d’une distribution de chauffage horizontale. Cela ne concerne encore qu’une minorité des immeubles, les plus récents. Dans les autres cas, nous installerons des répartiteurs électroniques.

Comment fonctionne un répartiteur de chauffage ?

Le principe de fonctionnement est assez simple : un répartiteur est fixé sur chaque radiateur de l’appartement. Il s’agit d’un petit boîtier électronique qui mesure en continu la différence de température entre le radiateur et la température ambiante de la pièce. Plus cette différence est grande, plus la consommation de chauffage est importante.

Les consommations sont relevées lorsque la température du radiateur dépasse une valeur déterminée (par exemple 23°C) et que la différence entre la température du radiateur et celle de la pièce dépasse une autre valeur prédéfinie (par exemple 4,5 °C).

Tous les répartiteurs que nous installons sont équipés d’un boîtier de transmission des données, afin de pouvoir relever les consommations à distance, sans avoir besoin de pénétrer dans les logements.

A quoi sert-il ?

Le répartiteur de chauffage collectif permet d’évaluer la consommation de chauffage de chaque logement, notamment en comparant les mesures effectuées pour chaque copropriétaire. Ainsi, il est possible d’établir une facturation au plus juste en fonction de la consommation réelle de chacun. 

Cela incite également à une utilisation plus responsable du chauffage, puisque chaque occupant est conscient de sa consommation.

Il est important de noter que le répartiteur de chauffage collectif ne permet pas de réguler le chauffage. C’est-à-dire qu’il ne permet pas de moduler la température du radiateur. Il s’agit uniquement d’un outil de mesure.

Comment les installer ?

Les répartiteurs de frais de chauffage doivent être installés selon les règles de l’art, au milieu du radiateur sur son tiers supérieur. Un paramétrage est nécessaire en fonction des caractéristiques du radiateur, ainsi qu’un couplage avec le système de relève de l’ensemble de la copropriété. C’est pourquoi il est préférable de faire appel à un professionnel, qui effectuera une visite préalable pour évaluer les besoins et assurera le service après installation.

Selon leur situation et leur environnement, certaines pièces, voire certains logements complets d’une copropriété sont défavorisés thermiquement : situés en façade Nord, sous les toitures, au-dessus d’un sous-sol non chauffé… La copropriété ou le bailleur social peut alors décider d’appliquer un coefficient de pondération pour compenser ces inégalités qui ne dépendent pas du comportement des utilisateurs.


En conclusion, le répartiteur de chauffage collectif est un outil indispensable pour une gestion plus équitable et plus responsable de la consommation de chauffage dans les immeubles équipés d’un chauffage central. Il permet une répartition des frais en fonction de la consommation réelle de chaque logement, incitant ainsi à une utilisation plus consciente de l’énergie. Les économies d’énergie sont réelles, et l’intérêt de l’individualisation est vite partagé par tout le monde.

Existe-t-il un compteur d’eau chaude pour appartement et copropriété ?

L’utilisation des compteurs d’eau chaude dans les appartements et les copropriétés est une tendance qui devrait continuer à croître dans les années à venir. En effet, avec la montée des préoccupations environnementales et la volonté croissante de faire des économies d’énergie, de plus en plus de copropriétés sont prêtes à investir dans ces appareils. L’utilisation de ces compteurs présente plusieurs avantages, mais leur installation n’est pas sans défi. Nous faisons le point sur les pour et les contre de cette installation. 

Existe-t-il un compteur d’eau chaude pour appartement et copropriété  ?

Dans une copropriété, il est fréquent de trouver un système de chauffage collectif. La production d’eau chaude sanitaire collective, moins fréquente, fonctionne sur le même principe. L’eau, réchauffée dans la chaufferie par un système de production d’eau chaude (un chauffe-eau classique, solaire ou encore thermodynamique), est ensuite distribuée à chaque logement.

Un compteur d’eau spécifique pour l’eau chaude

Afin de connaître la consommation de chaque logement, un compteur d’eau chaude sanitaire est installé sur l’arrivée d’eau chaude. Ils sont obligatoires dans les immeubles neufs depuis 1975 et les immeubles anciens depuis 1977. 

Ces compteurs fonctionnent sur le même principe que les compteurs d’eau froide, mais ils sont fabriqués avec des matériaux résistants à la chaleur, et leur système de comptage est mieux protégé. On utilise souvent des compteurs à jet unique, leur diamètre est à adapter en fonction de la consommation prévue, en fonction surtout du débit maximum prévisible.

Afin de les distinguer des compteurs d’eau froide, ils avaient  une couleur rouge ou orange, ce qui est moins le cas aujourd’hui avec la relève à distance.

De plus, pour permettre leur relevé à distance, nous conseillons de les équiper d’un module de communication.

Quels sont les avantages d’un compteur d’eau chaude ?

Ces compteurs permettant de mesurer la quantité d’eau chaude sanitaire consommée par chaque logement sont utilisés pour la subdivision et la facturation, ils répondent à des normes très précises.

Ils permettent de connaître la consommation réelle d’eau chaude de chaque logement, ainsi la facturation est établie de manière totalement transparente et équitable. Avec le relevé à distance, il n’est plus nécessaire de pénétrer dans les appartements pour relever les index de ces compteurs. Ainsi les volumes facturés ne sont pas estimés, ils ne peuvent plus être contestés.

En permettant une répartition équitable des coûts d’eau chaude entre les différents occupants d’un immeuble, ces compteurs encouragent les économies d’eau et d’énergie en rendant les occupants plus conscients de leur consommation. Le fait de connaître sa consommation personnelle peut faire diminuer sa facture d’environ 10 %. En effet, cela encourage rapidement à éviter les gaspillages. 

Quelles difficultés pouvons-nous rencontrer avec un compteur d’eau chaude ?

Malgré tous ces avantages, l’installation de compteurs d’eau chaude dans les appartements et les copropriétés n’est pas sans défis. 

Le coût initial de ces appareils et de leur installation peut être élevé, en fonction de la configuration du système de distribution de l’eau chaude.

Bien sûr, leur entretien nécessite un certain savoir-faire, il est conseillé de faire appel à un professionnel.

Les règles de facturation doivent être détaillées dans le règlement de la copropriété et connues de tous les occupants.

Au final, si vous habitez dans un appartement ou une copropriété et que vous êtes préoccupé par votre consommation d’eau chaude, l’installation d’un compteur d’eau chaude pourrait être une solution à envisager. Avant de vous lancer, il est toutefois recommandé de discuter de cette option avec les autres occupants de votre immeuble et de consulter un professionnel pour obtenir des conseils adaptés à votre situation spécifique. Nous étudions chaque cas de manière individuelle pour produire un devis exactement adapté à la situation de chaque copropriété.

Quelle est la réglementation pour la pose et l’emplacement d’un compteur d’eau ?

Un compteur d’eau est un instrument de mesure que l’on souhaite le plus précis possible. Afin de bien remplir sa fonction, il convient de respecter des règles pour son installation. Ces règles à respecter dépendent principalement de l’utilisation qui va être faite du compteur : s’agit-il du compteur général de votre habitation ? d’un compteur divisionnaire dans une copropriété ? d’un compteur privé ?

La pose et l’emplacement d’un compteur d’eau sont réglementés pour assurer un fonctionnement efficace et sûr du système de distribution d’eau.  Voyons quelques points généraux à prendre en compte lors de la pose et de l’emplacement d’un compteur d’eau. 

Quelle est la réglementation pour la pose et l’emplacement d’un compteur d’eau ?

Ces réglementations peuvent varier d’un pays à l’autre et même d’une région à l’autre, il est donc important de se renseigner auprès d’un référent local, votre mairie dans le cas du compteur d’eau général, votre copropriété, ou un professionnel de la plomberie dans les autres cas.

Qui doit s’occuper de la pose d’un compteur d’eau ?

Pour savoir qui peut intervenir sur un compteur, il faut connaître sa fonction.

Le compteur général, qui est le seul compteur généralement présent dans les habitations individuelles, appartient au service des eaux. Ce dernier est donc le seul responsable des interventions à réaliser sur ce compteur, sa pose, son déplacement ou son remplacement lorsque c’est nécessaire. L’usager du compteur n’en est que locataire, il doit assurer son entretien et sa protection. 

Pour une construction neuve, c’est le service des eaux qui pose le compteur et le raccorde depuis la canalisation générale d’adduction d’eau.

Dans le cas d’une copropriété, on retrouve le même compteur général avec les mêmes règles. Mais on peut trouver de plus en plus souvent des compteurs divisionnaires, encore appelés sous-compteurs. Ils sont généralement la propriété de la copropriété, ou d’une entreprise spécialisée comme Multimat Comptage, qui gère alors leur pose.

Dans ces deux cas, les compteurs servent pour la facturation du service de l’eau. Ils ne doivent donc en aucun cas être manipulés par les usagers.

Le règlement de service prévu à l’article L. 2224-12 du code général des collectivités territoriales  (CGCT) précise aux abonnés les prestations assurées par le service, ainsi que les obligations respectives de l’exploitant, des abonnés, des usagers et des propriétaires, notamment en ce qui concerne les branchements.

Enfin, certains propriétaires peuvent choisir d’installer un compteur divisionnaire pour isoler une partie de leur installation d’eau : l’arrosage du jardin, la piscine, ou une partie de la maison. Ce compteur n’étant pas source d’information pour la facturation, il n’est pas soumis aux règles mentionnées plus haut.

Choisir l’emplacement approprié

L’emplacement du compteur d’eau est crucial pour assurer un accès facile pour l’entretien et les relevés de consommation. Le compteur général sera généralement placé en limite de propriété, sous le domaine public. C’est le cas de tous les compteurs installés récemment. Dans les maisons anciennes, on trouve encore souvent le compteur à l’intérieur de la maison.

Quelques considérations importantes que l’usager doit respecter sont l’accessibilité, la protection contre le gel et la sécurité.

Le compteur doit être facilement accessible aux techniciens pour les relevés et les réparations éventuelles. Il ne doit pas être obstrué par des obstacles tels que des meubles ou des plantes.

Si vous habitez dans une région sujette au gel, assurez-vous que le compteur est placé dans un endroit protégé contre le froid pour éviter les dommages causés par le gel.

Évitez de placer le compteur dans des zones à risque, comme les zones sujettes aux inondations ou les endroits où il pourrait être endommagé par des véhicules ou des travaux de construction.

Respecter la distance par rapport aux autres installations

Lors de la pose du compteur d’eau, il est important de respecter certaines distances par rapport à d’autres installations pour des raisons de sécurité et de conformité aux normes. Voici quelques exemples courants :

 – Distance par rapport aux sources de chaleur : Le compteur d’eau doit être éloigné des sources de chaleur telles que les chauffe-eau, les chaudières ou les conduites de gaz afin de prévenir les risques d’endommagement ou d’explosion.

 – Distance par rapport aux installations électriques : Il est recommandé de maintenir une distance de sécurité entre le compteur d’eau et les installations électriques pour éviter tout risque de court-circuit ou de dommage électrique.

 – Distance par rapport aux autres compteurs : Si plusieurs compteurs sont installés dans un même local, assurez-vous de respecter les distances minimales recommandées entre chaque compteur pour faciliter l’accès et les opérations de maintenance.

Lors de la pose d’un compteur d’eau, il est essentiel de respecter les normes et les réglementations en vigueur. Cela peut inclure des exigences spécifiques en matière de matériaux, de dimensions, de scellement, etc. De plus, les différents types de compteurs ont des exigences d’installation différentes. C’est pourquoi il est recommandé de faire appel à une entreprise spécialisée pour l’installation de ces appareils de mesure.

La pose et l’emplacement d’un compteur d’eau sont réglementés pour garantir un fonctionnement efficace et sûr du système de distribution d’eau. Chez Multimat Comptage, notre système qualité vous assure un respect des normes et des règles de l’art, afin de pouvoir fournir des données fiables pour la facturation.

Pose de compteurs d’eau individuels en copropriété : à qui faire appel ?

Pour la prochaine assemblée générale de votre copropriété, votre demande d’installation de compteurs individuels a été mise à l’ordre du jour ? Et acceptée ? Belle décision pour réaliser des économies d’eau pour tous les copropriétaires ! Maintenant, il reste à décider à qui confier ces travaux. Lorsqu’il s’agit d’installer des compteurs d’eau individuels dans un immeuble en copropriété, il est essentiel de faire appel aux bonnes personnes pour garantir une installation réussie et conforme aux normes. 

Pose de compteurs d’eau individuels en copropriété : à qui faire appel ?

Il est idéal de consulter des entreprises spécialisées avant de proposer le projet à l’assemblée générale de la copropriété, afin d’avoir une idée de la faisabilité et du coût des travaux, ce qui éclairera la décision des copropriétaires.

Qui choisit l’entreprise pour la pose des compteurs ?

Comme tous les travaux entrepris dans la copropriété, le syndic ou des membres du conseil syndical de la copropriété doivent consulter plusieurs entreprises pour choisir la mieux adaptée, selon le devis détaillé fourni. 

En effet, le syndic est responsable de la gestion administrative et financière de l’immeuble, y compris de la prise de décision concernant les travaux de rénovation. Il peut vous aider à trouver les professionnels appropriés et à coordonner les différentes parties impliquées. 

Les personnes en charge du dossier peuvent également se faire épauler par un maître d’œuvre, autant dans le processus de consultation des entreprises que pendant le déroulement des travaux.

Le choix de l’entreprise et le montant des travaux doit être validé par une décision en Assemblée Générale, à la majorité absolue. Pour en savoir plus sur ce processus, vous pouvez relire notre article « Lors de ma réunion de copropriété annuelle, je peux demander à mettre à l’ordre du jour la pose de compteurs individuels ».

La pose de compteurs divisionnaires doit concerner tous les locaux.

Un plombier professionnel

L’un des principaux acteurs à consulter pour la pose de compteurs d’eau individuels en copropriété est le plombier professionnel. En raison des risques de fuites et des normes à respecter pour que les mesures soient fiables, il est important de choisir un professionnel qualifié.

Le plombier est chargé de l’installation des compteurs d’eau et de la mise en place du réseau de distribution d’eau individuel. Il est essentiel de faire appel à un plombier qualifié et expérimenté dans ce domaine pour garantir une installation correcte et sécurisée.

Une entreprise spécialisée

Pour des projets de plus grande envergure, il est judicieux de faire appel à une entreprise spécialisée dans la pose de compteurs d’eau individuels en copropriété, qui saura vous accompagner du début du projet jusqu’à la mise en place du relevé des compteurs.

Au sein de Multimat, nous possédons l’expertise et l’expérience nécessaires pour gérer l’ensemble du projet, de la planification à l’installation. Nous coordonnons pour vous les différentes étapes des travaux, vous êtes assurés que tout est conforme aux réglementations en vigueur. 


La pose de compteurs d’eau individuels en copropriété est un projet complexe qui nécessite l’intervention de différents acteurs. Multimat Comptage propose aux copropriétés une offre globale comprenant un forfait d’installation, un service de maintenance et un service de relève adapté à vos besoins. Le tout taillé sur mesure en fonction de vos souhaits et des contraintes de la copropriété. Les économies d’eau engendrées permettront rapidement d’autofinancer ces services.

Lors de ma réunion de copropriétaire annuelle je peux demander à mettre à l’ordre du jour la pose de compteurs individuels ?

Vous êtes déjà convaincu de l’utilité des compteurs d’eau individuels dans les copropriétés, pour leurs bénéfices autant économiques qu’écologiques. Si votre copropriété n’en est pas équipée, il vous reste à faire la proposition en réunion annuelle de copropriétaire, et à convaincre vos voisins !

Lors de ma réunion de copropriétaire annuelle je peux demander à mettre à l’ordre du jour la pose de compteurs individuels ?

Selon l’article L135-1 du code de la construction, seuls les immeubles construits après le 1er novembre 2007 sont tenus de respecter l’obligation de doter chaque logement d’un compteur individuel d’eau froide. De nombreuses copropriétés ne sont donc pas encore dotés de compteurs individuels mais seulement d’un compteur collectif.

Le vote par l’assemblée générale de copropriété

Les conditions de vote pour mettre en place l’individualisation des factures d’eau dans une copropriété ont été largement assouplies par la loi SRU du 13 décembre 2000, pour les deux étapes de vote concernées.

Dans un premier temps, l’assemblée générale doit voter les travaux d’installation des compteurs individuels. Il faut pour cela que la résolution recueille la majorité absolue, c’est-à-dire la majorité de tous les copropriétaires, présents ou non. Si cette majorité absolue n’est pas atteinte, mais que la résolution a recueilli au moins un tiers des voix, la même assemblée peut statuer à la majorité simple. Si le tiers des voix n’est pas atteint, il faudra attendre l’assemblée suivante.

Il faut ensuite voter la modification du règlement de copropriété, qui régit généralement la répartition des frais. Le vote se fait avec la même majorité que les travaux d’installation, à la différence des autres modifications de la répartition des charges, qui doivent être votées à l’unanimité.

Comment soumettre une résolution au vote de l’assemblée générale ?

Tout copropriétaire peut demander de mettre au vote une résolution, du moment qu’elle arrive à temps pour être inscrite à l’ordre du jour. Inutile donc d’attendre de recevoir la convocation, au contraire, il vaut mieux faire la demande sans tarder.

Les formalités à respecter sont toujours celles décrites dans le décret de 1967 : il faut envoyer la résolution, sous forme de demande précise, par courrier recommandé avec accusé de réception.

Pensez à annexer tous les documents utiles à la compréhension de la question, en l’occurrence tous les arguments justifiant l’intérêt d’installer des compteurs individuels dans votre copropriété. 

Se faire accompagner

L’installation des compteurs individuels dans une copropriété ancienne engage des travaux, différents selon chaque cas. Il est donc intéressant d’étudier le coût de ces travaux et la durée de leur amortissement, afin d’apporter des éléments concrets lors de l’assemblée générale.

En tant que spécialiste de l’individualisation des charges d’eau, nous pouvons vous aider dès le début du projet à étudier la meilleure solution pour votre copropriété.

Les économies en eau réalisées lors de l’individualisation des charges sont substantielles, de l’ordre de 20 %. C’est donc dans l’intérêt de tous les copropriétaires d’étudier cette question ! De plus la gestion de la refacturation est simplifiée pour le syndic avec nos solutions d’accompagnement, notamment avec la mise en place des relevés des compteurs à distance. Tout le monde peut réaliser des économies.

Le compteur d’eau individuel est-il obligatoire en location ?

Que vous soyez locataire ou propriétaire d’un logement, la question des charges récupérables, et dans celles-ci peut se trouver la consommation d’eau froide, est un sujet épineux. Il convient d’éclaircir les modalités de paiement des factures d’eau dès la mise en location du logement, afin d’éviter tout contentieux ultérieur. Les obligations des locataires et des propriétaires diffèrent selon qu’il s’agit d’une copropriété ou d’une maison individuelle, nous allons les passer en revue. 

Le compteur d’eau individuel est-il obligatoire en location ?

C’est le code de la construction et de l’habitation qui régit l’obligation d’installer des compteurs d’eau individuels dans les copropriétés. Cette obligation dépend de la date de construction de la copropriété, et non de sa situation locative.

Dans quels cas le compteur d’eau individuel est-il obligatoire ?

En France, il ne peut y avoir de fourniture d’eau potable sans la pose d’un compteur, qui marque la limite entre le domaine public, sous la responsabilité du fournisseur d’eau, et le domaine privé, sous la responsabilité de l’utilisateur.

Dans le cas d’une habitation individuelle, la situation est simple, il existe un seul compteur pour l’habitation. Peu importe qu’elle soit occupée par son propriétaire ou par un locataire, le compteur indique la consommation d’eau de l’ensemble de l’habitation, et permet d’établir une facture d’eau.

Dans le cas d’un immeuble collectif, la situation peut sembler plus compliquée au premier abord. Le compteur fourni par la collectivité publique ou son délégataire, qui marque la limite du domaine public, est appelé compteur général. Il indique la consommation d’eau de toute la copropriété, c’est donc le syndic de cette dernière qui reçoit la facture.

La copropriété, selon l’ancienneté de l’immeuble, peut gérer des compteurs individuels, situés à l’entrée de chaque appartement. C’est obligatoire pour tous les immeubles construits après le 12 novembre 2007, ainsi que dans tous les immeubles plus anciens pour lesquels ces travaux d’installation sont possibles techniquement et financièrement.

Encore une fois, cela ne dépend pas du statut de location ou non des appartements.

Qui doit prendre l’abonnement à son nom ?

Une fois le compteur identifié, dans le cas d’une mise en location d’un logement, se pose la question de l’abonnement qui doit être souscrit auprès du fournisseur.

Dans le cas d’un logement individuel, les deux solutions sont possibles : l’abonnement peut être au nom du propriétaire ou du locataire. Cela dépend de ce que demande le règlement de service de l’eau potable, qui impose parfois que l’abonnement soit conservé par le propriétaire.

Pour la gestion du paiement des factures d’eau, il est plus facile que le locataire prenne l’abonnement à son nom. En effet, les factures d’eau sont établies sur des exercices annuels aléatoires, en fonction de la date de relevé du compteur, donc leur refacturation en même temps que les charges est complexe.

Dans le cas d’une copropriété, c’est le syndic qui gère l’abonnement auprès du fournisseur d’eau. Il refacture ensuite ces charges aux copropriétaires, en les répartissant selon la consommation réelle si la copropriété est équipée de compteurs individuels.

Quelles sont les obligations du propriétaire ?

Dans les copropriétés qui ne sont pas équipés de compteurs individuels, le syndic doit fournir à chaque copropriétaire la facture d’eau ainsi que les informations complémentaires concernant la qualité de l’eau. Ces dernières informations sont fournies par la commune ou son délégataire. 

Le bailleur doit ensuite transmettre ces informations au locataire du logement, en même temps que le décompte de charges, et au minimum une fois par an.

La location ou non d’un logement ne change pas les règles concernant l’obligation d’installer des compteurs individuels. Par contre, leur présence simplifie grandement la communication  entre bailleur et locataire pour comprendre le décompte des charges et évite une source de conflit potentiel.

Peut-on avoir deux compteurs d’eau ?

Dans la plupart des cas, chaque habitation possède un compteur d’eau, dont le relevé fait foi pour établir la facture d’eau. La règle générale est claire : un logement possède un compteur, et donc un abonnement. Mais comme toute règle, cette dernière permet plusieurs exceptions. Dans quels cas peut-on alors posséder deux compteurs d’eau ?  

Peut-on avoir deux compteurs d’eau ?

Nous allons discuter dans cet article soit de compteurs principaux, soit de compteurs divisionnaires. Les appareils étant similaires, il est facile de les confondre. Généralement, vous ne trouverez de compteurs divisionnaires que dans les copropriétés.

En règle générale, un seul compteur par habitation

Rappelons pour commencer que le compteur d’eau est un appareil de mesure dont la fabrication, l’installation et l’usage sont très réglementés. Il permet en effet d’établir la facture d’eau, qui vous est adressée au minimum une fois par an.

Le compteur d’eau représente également la frontière légale qui partage les responsabilités entre le service des eaux et vous, l’usager. En effet, le service des eaux est responsable des canalisations en amont du compteur, en incluant ce dernier. L’usager, quant à lui, est responsable des canalisations en aval du compteur, en domaine privé. Pour plus de détail sur ce point, vous pouvez relire notre article « Qui est responsable d’une fuite d’eau avant le compteur ? ».

Pour faciliter ce partage des responsabilités, le compteur est placé en limite du domaine public, lorsque c’est possible. Mais dans les habitations existantes, ce n’est encore pas le cas majoritaire.

En résumé, lorsque vous occupez une habitation individuelle, vous disposez d’un compteur, qui correspond donc à un abonnement auprès du service des eaux.

Ne pas confondre compteur général et compteur divisionnaire

Lorsque vous habitez dans une copropriété, que vous soyez propriétaire ou locataire, vous pouvez être confronté au relevé de deux compteurs différents.

En effet, chaque immeuble possède obligatoirement un compteur général, qui appartient au service des eaux, et qui représente la limite entre le domaine public et le domaine privé.

Désormais, les logements individuels sont de plus en plus équipés de compteurs individuels, appelés également compteurs divisionnaires. C’est obligatoire dans les immeubles neufs, et autant que possible dans les immeubles existants. Ces compteurs permettent de partager de manière équitable la facture d’eau de la copropriété entre les différents habitants.

L’eau que vous consommez dans votre logement passe alors par deux compteurs : tout d’abord le compteur général, puis le compteur divisionnaire de votre logement.

Les cas particuliers

Il existe encore des cas particuliers, en variante de ces installations communément observées.

Lorsque des compteurs divisionnaires sont installés dans une copropriété existante, ce qui est conseillé pour réaliser des économies d’eau, l’installation doit s’adapter à la configuration particulière des lieux. 

Si un appartement possède plusieurs arrivées d’eau, par exemple plusieurs colonnes montantes, il devra être équipé d’un compteur pour chaque arrivée d’eau.

Dans le cas des habitations individuelles, c’est souvent l’historique du bâtiment qui explique la présence éventuelle de plusieurs compteurs d’eau, par exemple si plusieurs habitations ont été regroupées, ou si un ancien local commercial a été intégré dans la maison.

Dans toutes les situations, chaque compteur devant être entretenu et renouvelé régulièrement, il engendrera des frais de location. Dans le cas de la copropriété, ces frais seront comptés avec les charges d’eau. Dans le cas des habitations individuelles, si vous possédez plusieurs compteurs vous devrez vous acquitter d’autant d’abonnements.

Il est toujours utile de comprendre le fonctionnement et l’historique de votre installation d’eau, sans attendre de conflit éventuel avec votre fournisseur ou votre copropriété. Rapprochez-vous du service des eaux, qui en profitera peut-être pour simplifier votre installation, vous en serez gagnant.

Existe-t-il des compteurs de chauffage individuels ?

A l’heure des inquiétudes concernant les sécheresses et les manques d’eau dans toutes les régions, de nombreuses copropriétés font l’effort d’individualiser les charges d’eau. Ainsi, chaque consommateur paie selon sa consommation, et se voit immédiatement récompensé de ses efforts pour faire des économies. 

La problématique est la même pour les immeubles disposant d’un système de chauffage collectif : les copropriétés dans lesquelles les frais de chauffage sont individualisés voient leur consommation globale baisser significativement. Quels sont les appareils permettant cette individualisation ?  

Existe-t-il des compteurs de chauffage individuels ?

Depuis 2017, chaque immeuble doit être équipé d’une installation permettant de déterminer la consommation d’énergie de chaque logement. Cette obligation est également valable pour une installation de refroidissement.

Quels sont les appareils de mesure de la consommation de chauffage ?

Il existe deux types d’équipements permettant d’évaluer la consommation de chauffage d’un logement. Il faut privilégier les compteurs individuels lorsque cela est possible, sinon installer des répartiteurs de frais de chauffage.

Les compteurs individuels de chauffage sont appelés compteurs d’énergie thermique, il en existe deux types que nous vous proposons :

 – Le compteur à turbine (mécanique) : équipé de 2 sondes de température, une sur la canalisation entrante, une sur la canalisation sortante.

 – Le compteur à ultra-son : il mesure le débit passant à l’intérieur de la canalisation par l’émission d’ultra-sons.

Il est possible d’installer un seul appareil de mesure par logement dans les cas où le chauffage collectif est distribué par une boucle horizontale. Cela concerne environ 10 % des immeubles en copropriété en France, principalement les bâtiments récemment construits. Ces compteurs d’énergie thermique sont aussi appelés compteurs de chaleur ou compteurs de calories.

Dans les autres cas, il faut prévoir des répartiteurs de frais de chauffage, appareils se posant directement sur les radiateurs.

Comment fonctionne un compteur d’énergie thermique ?

Dans chaque logement, le compteur est posé sur l’alimentation en eau chaude. Il est composé de trois parties : un débitmètre, deux sondes de température et un intégrateur.

Les sondes de température servent à mesurer la différence de température de l’eau entre l’entrée et la sortie du circuit de chauffage du logement.

L’intégrateur est le boîtier électronique installé sur l’appareil, il calcule l’énergie consommée en fonction des données du débitmètre et des sondes de température. 

Ce boîtier affiche différentes informations, comme la consommation d’énergie, le débit ou les températures mesurées. L’énergie consommée est directement exprimée en kWh.

Le boîtier est directement équipé d’un émetteur permettant de transmettre les données de consommation au système de centralisation, par communication radio. Comme dans le cas des compteurs d’eau individuels, avec ce système de communication, plus besoin de pénétrer dans les appartements pour le relevé des données.

A quoi sert un compteur individuel de chauffage ?

Sur ces compteurs , la consommation d’énergie est directement calculée en intégrant :

– le volume d’eau chaude ayant circulé dans le réseau de chauffage de l’appartement,

-la différence de température de l’eau à l’entrée et à la sortie de l’appartement.

Ainsi les occupants du logement peuvent suivre en continu leur consommation d’énergie. Ils doivent pouvoir régler la température de leur logement, par exemple avec des robinets thermostatiques. Ainsi, leurs efforts pour diminuer la température de leur logement, de jour et de nuit, et pour limiter les déperditions de chaleur seront rapidement récompensés.

Les compteurs d’énergie thermiques sont pré-équipés pour être relevés à distance par le système de Radio-relevé Multimat ®. Les données sont transmises au syndicat de copropriété selon la fréquence définie ensemble.

Depuis le choix des équipements jusqu’au traitement des données, en passant par la présentation du projet à l’assemblée des copropriétaires, nous vous accompagnons tout au long de votre projet d’individualisation des frais de chauffage. Nous calculerons ensemble quelles économies pourront être réalisées, et ainsi les copropriétaires, qui ont à leur charge les frais d’installation, seront informés du retour sur investissement prévisible.

Qu’est ce qu’un compteur calorifique pour radiateur ?

Dans un logement, le chauffage représente le premier poste de consommation d’énergie. C’est donc le premier poste à étudier pour faire des économies ! Depuis 2017, l’individualisation des frais de chauffage doit être mise en place dans les immeubles  les plus consommateurs en énergie, et cette obligation s’étend désormais aux logements de classe C. Pour cela, des équipements spécifiques doivent être installés dans les logements.

Qu’est ce qu’un compteur calorifique pour radiateur ?

Selon la configuration du système de chauffage collectif, il existe deux types d’appareils permettant d’évaluer la consommation d’énergie d’un logement pour son chauffage. Dans le cas de circuits de chauffage en distribution horizontale, il est possible d’installer pour chaque appartement un compteur d’énergie thermique. Cet appareil se pose sur la boucle d’alimentation de l’appartement. Mais ce cas ne concerne qu’environ 10 % des immeubles, dans les autres cas il faut installer un appareil sur chaque radiateur, appelé répartiteur de frais de chauffage ou compteur calorifique pour radiateur.

A quoi sert un compteur calorifique pour radiateur ?

Le compteur calorifique pour radiateur permet d’évaluer la consommation en eau de chaque radiateur d’un logement.

Pour cela, il possède deux sondes de température : l’une mesure la température de la pièce, la seconde mesure la température du corps de chauffe du radiateur. Dès que cette dernière dépasse 23°C, le répartiteur calcule les calories consommées en continu.

En cumulant les données de tous les radiateurs du logement, il est possible d’évaluer les calories consommées, et de les comparer avec les données des autres logements, pour répartir les frais de chauffage de la copropriété.

Pour comprendre comment utiliser ces données, vous pouvez relire notre article « Comment répartir les frais de chauffage en copropriété ».

Comment l’installer ?

Les compteurs calorifiques ne demandent pas de modification de l’installation de chauffage, ils s’installent directement sur chaque radiateur. Il faut donc en prévoir un par appareil de chauffage. 

Chaque type de radiateur possède une zone bien précise sur laquelle installer le compteur calorifique. Il faut donc faire attention à son installation pour que la précision de la mesure soit optimale. De plus, selon le modèle du radiateur, une programmation du compteur doit être faite en fonction de la puissance du radiateur.

Pour ces raisons, il est préférable de faire appel à un professionnel pour l’installation homogène des répartiteurs dans toute la copropriété.

Quels sont les avantages de cet appareil de mesure ?

Au delà de sa facilité d’installation et de son faible coût d’investissement, cet appareil est surtout intéressant pour la meilleure connaissance de sa consommation d’énergie qu’il permet.

Avec un bon accompagnement des occupants de la copropriété, en les aidant dans la mise en place des gestes quotidiens, on observe une baisse significative des consommations, les économies sont rapidement visibles ! En effet, d’après l’ADEME, les copropriétés observent une baisse des consommations de l’ordre de 15 % après l’individualisation des frais de chauffage.

Depuis le choix des équipements jusqu’au traitement des données, en passant par la présentation du projet à l’assemblée des copropriétaires, nous vous accompagnons tout au long de votre projet d’individualisation des frais de chauffage.

Qu’est ce qu’un défalcateur d’eau ?

Que vous soyez en immeuble collectif ou en habitation individuelle, vous avez peut-être chez vous un appareil qu’on vous a présenté comme un « défalcateur d’eau ». Cela ressemble fortement à un compteur, mais en est-ce réellement un ? On fait le point… 

Qu’est ce qu’un défalcateur d’eau  ?

Le terme de « défalcateur » se retrouve également dans le domaine de l’énergie. Même si le principe général est le même, nous nous concentrons ici sur le domaine de l’eau.

Le défalcateur, un compteur d’eau divisionnaire

Le terme de défalcateur est une expression parfois utilisée pour désigner un sous-compteur, ou encore un compteur divisionnaire. Il s’agit donc bien d’un compteur d’eau !

C’est, en résumé, un appareil qui mesure votre consommation en eau. Mais, à la différence du compteur d’eau principal, il ne permet pas de souscrire un abonnement chez le fournisseur d’eau de votre commune.

Ce compteur divisionnaire est utile pour connaître la consommation d’un partie du réseau principal. Dans une copropriété, le compteur d’eau général, celui qui est référencé par le délégataire de votre commune, est placé à l’entrée de l’immeuble, et l’abonnement est souscrit par le syndicat de copropriété. Les compteurs divisionnaires sont installés à l’entrée des différents logements, ils permettent de connaître la consommation exacte de chaque logement. Et, en « défalquant » le total des consommations individuelles à la consommation totale de la copropriété, on calcule la consommation des parties communes, pour leur entretien et éventuellement l’arrosage.

Un sous-compteur peut aussi servir pour isoler une partie de la maison : la salle de bain, le système d’arrosage du jardin, ou alors la piscine…

Comment installer un tel compteur ?

Tous les immeubles dont le permis de construire a été déposé après le 1er novembre 2007 doivent être  pré-équipés pour accueillir des compteurs divisionnaires. Si l’immeuble est plus ancien, la copropriété doit étudier la faisabilité technique et financière de leur installation. Nous pouvons l’accompagner dans cette étude pour trouver la meilleure solution adaptée à chaque copropriété.

Les compteurs défalcateurs s’installent tout à fait de la même manière que les compteurs principaux, il est recommandé de confier l’installation à un professionnel, qui respectera quelques règles afin que la mesure effectuée par le compteur soit correcte.Il existe quatre types de compteurs : les compteurs de vitesse à jet unique, les compteurs de vitesse à jet multiple, les compteurs volumétriques et les compteurs ultrasons. Comme ils ont chacun leurs avantages et leurs contraintes d’installation, nous vous proposerons les compteurs les plus adaptés à votre installation. Vous pouvez également retrouver plus d’informations dans nos articles « Comment installer des compteurs d’eau individuels » et « Comment fonctionne un compteur d’eau ».

Une facturation plus juste pour réaliser des économies

L’objectif de l’installation d’un défalcateur d’eau est de suivre au mieux la consommation en eau de chaque logement dans une copropriété, ou de la partie d’une maison. Ainsi, vous serez plus réactifs en cas de fuite, et vous pourrez cibler les efforts à réaliser pour réaliser des économies.

Dans une copropriété, l’installation de compteurs individuels permet de faire baisser la consommation totale en eau de 15 % environ, le coût de l’installation est rapidement rentabilisé.

La facturation se fait alors en fonction des consommations réelles de habitants, elle est plus juste et encourage les économies en eau.

Les sous-compteurs peuvent être équipés de modules de communication, comme les compteurs généraux, ce qui facilite encore leur suivi et la facturation dans la copropriété.

En fonction des besoins de la copropriété et des contraintes d’installation, nous vous proposons une solution sur-mesure, pour l’installation, et ensuite le suivi et la maintenance des compteurs divisionnaires.